Was that in the article or are we assuming? Because in your post you said two picks. I found that to be strange wording. I can't read the article it's behind a paywall.
I'll repost the link and will translate it.
Le Calepin du Canadien: L'importance du tour du chapeau de Mathieu Perreault, d'où viennent les ennuis de l'attaque à cinq, et plus
One thing is clear, the Canes would have prefereed not to sign that contract with JK. and that a trade would have been much better. That's why the Canes tried numerous times to do a deal with the Habs after having informed then of their intent to offert sheet JK.
The basis of the deal was obviously the 1st and the 3rd round picks that would be going back to Montreal. But the Canes were also ready to offer a bonus to the Habs if it would have made it possible NOT to offer sheet.
The tries from Waddell to make a deal before the offer sheet are well documented. Our understanding of the situation is that Waddell had offered the 2 draft picks AND another pick OR for the Habs to select one of Bokk, Suzuki, GUnler or Rees.
The Habs said no.
At first glance, if you remove the offer sheet otu of the equation, the Canes offer wasn't equitable for JK. But the offer sheet was an important part of the eaquation. And by rejecting the offer, the Habs decided to play poker with them, either they had decided that it was preferable for them to see the Canes pick up a big salary rather than adding a good prospect in our pool.
BUt let's think what could have happened if they would have accepted the deal. The Habs could have made the deal with the Coyotes and send the 1st rounder in Arizona for Dvorak. But the dynamics would have been diffrent cause instead of having to come to agreement with an inversion of picks, they just would have offered The Canes 1st rounder and Armstrong would have been glad to do it. ON top of it, there would have been an additional pick in the draft OR another prospect in the Habs system.
By rejecting the offer, the Habs challenged the Canes to pay JK 6.1M$ this season. The idea was to NOT fall for the bluff. It wasn't one.
Une hypothèse de ce qui aurait pu se passer avec l’offre hostile de Kotkaniemi
Une chose est claire : les Hurricanes auraient préféré ne pas signer ce contrat avec Kotkaniemi, et que de leur point de vue, un échange aurait été de loin préférable. C’est pourquoi les Hurricanes ont tenté à plusieurs reprises de trouver un arrangement avec le Canadien après les avoir informés de leur intention de déposer une offre hostile à Kotkaniemi.
La base des pourparlers était évidemment les choix de première et de troisième rondes qui passeraient dans le camp du Canadien en guise de compensation advenant une offre hostile. Mais les Hurricanes étaient prêts à offrir un bonus au Canadien si cela leur permettait d’éviter l’offre hostile.
Les tentatives du directeur général des Hurricanes, Don Waddell, de conclure un échange avant de compléter l’offre hostile ont été bien documentées. Notre compréhension des choses, c’est que l’offre portait sur les deux choix de repêchage en plus d’un choix supplémentaire, ou bien la possibilité pour le Canadien de choisir un espoir de son choix – autre que Seth Jarvis – à ajouter à la transaction. Cela signifierait qu’un espoir comme Dominik Bokk, Ryan Suzuki, Noel Gunler ou Jamieson Rees aurait pu être ajouté à la transaction.
Le Canadien a dit non.
À première vue, si vous ôtez l’offre hostile de l’équation, l’offre des Hurricanes n’était pas équitable pour Kotkaniemi. Mais l’offre hostile était une part importante de l’équation, et en rejetant l’offre de transaction, soit que le Canadien s’engageait dans une grosse partie de poker, soit qu’il avait décidé qu’il était plus intéressant d’alourdir les Hurricanes de ce contrat plutôt que d’ajouter un espoir honnête à sa pépinière.
Mais faisons des hypothèses sur ce qui aurait pu se passer s’il avait accepté l’échange.
Si cela s’était produit, le Canadien aurait pu conclure un échange avec les Coyotes pour envoyer ce choix de premier tour en Arizona en retour de Christian Dvorak, ce qui est finalement arrivé de toute façon. Mais la dynamique de l’échange aurait été bien différente et le Canadien aurait probablement pu éviter d’avoir à s’entendre sur une inversion de choix comme ça a finalement été le cas. Les deux formations auraient pu simplement inclure le choix de premier tour de la Caroline dans la transaction, sans aucune condition, et le directeur général des Coyotes, Bill Armstrong, aurait probablement été ravi.
En plus de cela, il y aurait un choix supplémentaire au repêchage ou alors un autre espoir dans le système du Canadien.
En rejetant cette offre, le CH a essentiellement mis les Hurricanes au défi de payer 6,1 millions $ à Kotkaniemi cette saison. C’était refuser de succomber à ce qu’il devait percevoir comme un bluff.
Ce n’en était pas un.